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A Venise, le commissaire Brunetti est chargé d'enquêter sur le meurtre d'un Africain qui vendait des contrefaçons à la sauvette. Il est dessaisi de l'enquête quand on découvre parmi les affaires de la victime des diamants dissimulés dans une boîte de sel. Mais en poursuivant ses recherches de son côté, il met au jour un complot impliquant une compagnie minière italienne et l'Angola.

Comme tous ceux qui la côtoient, le docteur Carlotti hait sa patiente Maria Grazia Battestini, une vieille femme avare et acariâtre. Il se rend à reculons à sa consultation hebdomadaire. Mais, ce jour-là, il ne se fait pas malmener, pour la simple et bonne raison qu'il la découvre assassinée dans son appartement vénitien. L'affaire est entre les mains du commissaire Brunetti.

En 2045, une guerre a redessiné les frontières des Etats-Unis. Les côtes Est et Ouest forment une République où la liberté est totale mais la surveillance constante. Les Etats du centre sont réunis en une confédération dans laquelle les valeurs chrétiennes font loi. Sur les traces d'une dangereuse cible, Samantha Stengel, agent des services secrets républicains, s'apprête à infiltrer l'autre camp.

Il arrive un moment, dans certains pays, à certaines époques, où les hommes semblent attendre un événement important et tragique qui permettrait de résoudre tous les problèmes. Ces périodes sont généralement nommées : avant-guerre. Elles sont assez mal choisies pour tomber amoureux. En 1940, à New York, un écrivain débutant nommé Jerry Salinger, vingt et un ans, rencontre Oona ONeill, quinze ans, la fille du plus grand dramaturge américain. Leur idylle ne commencera vraiment que l'été suivant... quelques mois avant Pearl Harbor. Début 1942, Salinger est appelé pour combattre en Europe et Oona part tenter sa chance à Hollywood. Ils ne se marièrent jamais et n'eurent aucun enfant. F.B.

«S'il vous plaît... un petit peu de sommeil... un petit peu de cette douce et agréable absence... Une simple échappée, une brève escapade, un pique-nique avec les étoiles dans le noir...» Grand insomniaque, un scénariste de Tanger découvre que pour enfin bien dormir il lui faut tuer quelqu'un. Sa mère sera sa première victime. Hélas, avec le temps, l'effet s'estompe... Il doit récidiver. Le scénariste se transforme en dormeur à gages. Incognito, il commet des crimes qu'il rêve aussi parfaits qu'au cinéma. Plus sa victime est importante, plus il dort. Et c'est l'escalade. Parviendra-t-il à vaincre définitivement l'insomnie? Rien n'est moins sûr. Une erreur de scénario, et tout peut basculer. Le talentueux Bernard Gabay nous entraîne dans une quête implacable et troublante, entre rêve et cauchemar éveillé.

Mack travaille au fond d'une mine de charbon en Ecosse. Il brûle du désir de s'évader de cet enfer sur terre. Il trouve un appui inespéré en Lizzie Hallim, une jeune aristocrate qui cherche à échapper au poids des traditions et au mariage de convention auquel elle a dû consentir. Condamné à la déportation en Amérique par le gouvernement britannique, il retrouve Lizzie.

Cinq ans après La Silencieuse (Cas Particuliers/Buda Musique 2017), Meïkhâneh affirme davantage les influences persanes, mongoles et européennes de sa musique, au croisement d'une world music et d'un folk imaginaires. Le trio explore l?intériorité et l?extériorité, le cocon et le vaste monde, ce qui se ressent et ce qui se dit. Un appel à l'espace, au voyage, à la nature... Ce nouvel album propose 13 chansons à la fois lumineuses et intimistes, terriennes et vibrantes. Chantés en mongol, persan, portugais, grec, français et langue imaginaire, les Chants du dedans, Chants du dehors livrent des mélodies limpides, profondes, des rythmes dansants, dans un écrin de cordes pincées, frottées, entre terre et ciel.

Legacy Recordings, à l'occasion du 25e anniversaire du film The bodyguard (1992-2017), a réussi à rassembler sur un même album : des chansons qui étaient dans le film chantées par le personnage Rachel Marron, joué par Whitney, mais qui n'avaient pas été incluses dans la BOF ; des remixes de l'époque totalement inédits ; et pour finir, des versions live inédites issues du The bodyguard tour de 1994 et 1995.

Arnaud Rebotini a composé toute la bande originale du film réalisé par Robin Campillo. Le film retrace le combat au début des années 90 de l'association Act Up contre les ravages du Sida et l'indifférence. La BOF comporte ses compositions originales et son remix de Small town boy de Bronski Beat apparaissant dans le film. La musique est un élément clé du film. La house puis plus tard la techno ont grandi avec la montée du sida. Le clubbing était pour cette génération la thérapie, le moment de réunion où l'on oubliait ses angoisses. "Cette BO est ce qui équilibre le film, qui justifie ce titre si conceptuel. 120 bpm, le rythme naturel de la house et du coeur, la musique qui nous a fait tenir quand on y croyait plus, le mouvement musical le plus important de ces 30 dernières années avec le hip hop". Didier lestrade (co-fondateur d'Act Up).