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De charmants animaux du zoo très colorés peuplent les pages de ce livre. Les enfants y trouveront également une foule de choses à repérer, d'images à comparer, de différences à chercher et de détails amusants à observer et à nommer. Un livre très visuel qui les encouragera à développer leur sens de l'observation, enrichir leur vocabulaire et renforcer les notions numériques de base. De charmants animaux du zoo très colorés peuplent les pages de ce livre. Les enfants y trouveront également une foule de choses à repérer, d'images à comparer, de différences à chercher et de détails amusants à observer et à nommer. Un livre très visuel qui les encouragera à développer leur sens de l'observation, enrichir leur vocabulaire et renforcer les notions numériques de base. Dans la même collection que Cherche et trouve les animaux, qui remporte un grand succès auprès des enfants. Une belle idée de cadeau. Pour renforcer des notions essentielles tout en s'amusant. Dans la même collection que Cherche et trouve les animaux, qui remporte un grand succès auprès des enfants.

1953. La guerre est finie depuis huit ans. C'est l'âge d'Alain. Il porte des culottes courtes même en hiver ; va à l'école à pied, écrit à la plume et à l'encre violette, joue dans la rue sans danger. Les premières télévisions font leur apparition. Les supermarchés n'existent pas, les ordinateurs non plus. Presque personne en France n'a encore de téléphone, ni de réfrigérateur, ni de voiture, ni de salle de bains. Quelques jours avant Noël, le maître, cigarette au bec, dessine le Père Noël et son traîneau au tableau noir. C'est un chef-d'oeuvre. Il ne sait pas qu'il vient de transmettre à l'un de ses élèves la passion du dessin. Cinquante ans plus tard, Alain, devenu grand-père, nous raconte en couleurs ses fantastiques années cinquante.

Un imagier sur les transformations qui interviennent au fil du temps et sur la perception de la durée en fonction des points de vue.

1953. La guerre est finie depuis huit ans. C'est l'âge d'Alain. Il porte des culottes courtes même en hiver ; va à l'école à pied, écrit à la plume et à l'encre violette, joue dans la rue sans danger. Les premières télévisions font leur apparition. Les supermarchés n'existent pas, les ordinateurs non plus. Presque personne en France n'a encore de téléphone, ni de réfrigérateur, ni de voiture, ni de salle de bains. Quelques jours avant Noël, le maître, cigarette au bec, dessine le Père Noël et son traîneau au tableau noir. C'est un chef-d'oeuvre. Il ne sait pas qu'il vient de transmettre à l'un de ses élèves la passion du dessin. Cinquante ans plus tard, Alain, devenu grand-père, nous raconte en couleurs ses fantastiques années cinquante.

C'est une nuit de pleine lune si lumineuse que les animaux de la ferme ne trouvent pas le sommeil. Mais entre les stridulations des criquets et les coassements de la grenouille, il leur vient une merveilleuse idée.

Lorsque la nuit tombe, c'est l'heure où sort Balthazar. Mâchoire en dents de scie, il rôde et se faufile, plus discret qu'une ombre, à la recherche de son dîner. Quand il l'a repéré, il s'approche doucement, tout doucement, et se glisse dans les chambrées. Avez-vous deviné ce qu'il aimait manger ?

Un pont en équilibre sur une rivière. S’y élancent un lapin en cavale et un renard en appétit. Outch ! La planche bascule et devient balançoire. Pour survivre, pas le choix : il va falloir rester à deux et mêmeà apprendre à vivre ensemble !

De présentation traditionnelle, avec une page de texte et une page d’image, cet ouvrage ne manque pas de dynamisme. Sur fond jaune pour une moitié des pages, figurant le jour, sur fond bleu sur l’autre moitié, désignant la nuit, le lapereau masqué apprend à accepter et à aimer son petit frère, en affrontant ses angoisses pour tenir son rôle de grand frère. Stéphanie Blake sait mettre en évidence l’importance des sentiments et des moments ressenti avec une grande économie de moyen. Les décors sont minimalistes, mais les couleurs franches et les formes expressives. Le texte se joue de la taille des lettres et s’amuse à la lecture de quelques onomatopées. Amusant, rassurant, le pinceau de l’illustratrice ravira les plus petits.

Monsieur et madame Canard sont encore dépassés par leur fille Bébé Canard. Elle a horreur de ses nouvelles lunettes. Mais, une fois de plus, Grand-papa saura quoi faire.

Comme tous les bébés chouettes, Sarah, Rémy et Lou réfléchissent beaucoup - surtout la nuit, quand ils sont seuls, et que leur maman chouette n'est pas encore rentrée...

Benny veut sortir. Il prend son petit frère par la main et ouvre la porte. " N'allez pas près de l'eau ! ", leur crie maman. Mais c'est près de la mare que tout le monde se retrouve. Il y a Klara, que Benny aime beaucoup. Hélas, il y a aussi les trois cochons costauds. Leur chef, l'affreux Marco, pousse le petit frère de Benny à l'eau. heureusement, Klara le sauve et le prend sur ses genoux pour le consoler. Alors Benny se jette lui aussi à l'eau.

Le royaume du bon Stanislas est déchiré : qui, de la ville de Nancy ou de Metz mérite le titre de capitale de la Lorraine ? Deux jeunes filles, belles et talentueuses vont s'affronter, chacune défendant sa cité avec une imagination gourmande. Mais l'espièglerie du nain Bébé viendra troubler leur délicieux tournoi...

Ces temps-ci, Bertille broie du noir. Son voisin, Monsieur Edmond, l'observe depuis son balcon... Pour lui redonner le sourire, il va imaginer une drôle de solution

De mémoire de flamant rose, Bibi a toujours fait partie de la colonie. C’est elle qui enseigne aux plus jeunes tout ce qu’ils doivent savoir : tenir debout sur une patte, nettoyer leurs plumesà Mais lorsque le lac qui les nourrit s’assèche, les flamants roses doivent partir. C’est un voyage éprouvant qui commence pour les tout-petits. Heureusement, Bibi veille sur euxà

C’est l’automne. Les feuilles tombent, les jours deviennent plus courts et les nuits de plus en plus fraîches. L’hiver approche. L’écureuil le sait et cela l’inquiète un peuà

Chaque jour, des enfants, des femmes et des hommes risquent leur vie pour se mettre à l'abri. Ils fuient les persécutions, la guerre, la famine... Que les causes soient politiques ou climatiques, n'oublions jamais que l'asile est un droit constitutionnel. L'accueil des réfugiés est l'affaire de tous !

Michel, l’ours grincheux et solitaire, a finalement accepté son destin de mère de famille et s’occupe consciencieusement de ses oisons adoptifs. L’hiver, il migre même vers le Sud avec sa progéniture, au lieu d’hiberner. Mais à leur retour au printemps, une mauvaise surprise les attendà la maison de Michel a été transformée en hôtel par un trio de souris opportunistes ! De bruyants pensionnaires se sont installés partout û jusque dans le lit de Michel û et un cuistot renard a pris ses quartiers dans la cuisine. Les nerfs de Michel vont-ils résister à une telle invasion ?

Biglouche est un chat très séduisant mais il ne sort jamais parce qu'il est différent des autres : il louche depuis sa naissance. Impossible pour lui d'attraper une souris et les chats se moquent de lui. Le hibou lui indique un jour l'adresse du docteur Miro, qui pourrait changer sa vie..

La jeune Bih-Bih est avalée par un affreux monstre. Mais s’il ne s’agissait que d’elle ! Le Bouffron-Gouffron a englouti la terre entière. Bih-Bih et son ami le champignon Filifraiïme vont chercher une solution, et, chemin faisant, parcourir le monde et ses monuments. Bih-Bih dans sa petite robe a des airs d’Alice, et, en effet, c’est bien tout un pays de merveilles qu’elle va sillonner : temples grecs, pyramides d’Egypte, grotte de Lascaux, châteaux de Bavière et Cité Interdite, la liste n’aurait pas de fin. Les détails véridiques ou malicieux - inévitables poussins - fusent de chaque bosquet, chaque tiroir... Le livre est gigantesque (format à l’italienne d’un bon mètre ouvert), il se triture (passage à la verticale au milieu de l’histoire) et se tripote (allers et retours pour être sûr de se repérer et d’avoir bien compris). Les cases s’enchaînent sans rupture de lieu tandis que Bih-Bih avance dans tous les sens, pour un effet visuel complet, des plus réussis. Comme l’illustration, l’histoire puise à tout un ensemble de sources : un Jonas et sa baleine, une quête classique, un conte des origines finalà Les créations langagières sont très inventives (« C’est un véritable tournicibouli qui ensiphonne tout. »), et l’idée de l’Ooïpopoille en morceaux demeure à mes yeux assez impressionnante. Il faut déjà être un bon lecteur pour suivre sans se perdre, mais on peut aussi décider de se laisser porter par les grandes imagesà Indispensable.

Il fallait y penser : tout un album, graphique et coloré, en l’honneur de l’un des jeux stars des cours de récréation. À la fois classique et intemporel (il existe depuis les Romains !), le jeu des billes est par excellence celui qui réunit les générations : les uns replongent avec nostalgie dans leurs souvenirs, les autres peuvent présenter avec fierté leur collection toute neuve, gagnée sous le préau ! Règle du jeu, origine, techniques de tirs, types de parties, circuitsà le thème est riche. Il est ici présenté avec une belle vigueur graphique, dans une mise en page ludique des différentes collections, couleurs ou matières typiques du joli et joyeux monde des billes.